S'unir culturellement et se libérer des catégories
J’ai une admiration pour les peuples soudés, les nations qui ont une identité de groupe et qui savent profondément ce qui les unit.
Ouvre tes fichues ailes!
Ta vie d’avant s’est envolée en même temps que toi, le jour où tu as ouvert tes ailes. Alors cesse de vouloir rester petite, de retourner dans le passé alors que ton âme ne rêve que d’avancer!
Être nomade et apprendre à dire au revoir
Le voyage m’a appris à accueillir, mais aussi à laisser partir sans chercher à retenir. Pour moi, c’était devenu une seconde nature de m’attendre à dire au revoir.
S'épanouir ici, comme en voyage
Esprits libres, n’oublions pas qui nous sommes au-delà de ces circonstances. Restons centrés et connectés à notre nature profonde, et ce même si tout autour, nos repères deviennent vaporeux. C’est correct, nous en avons l’habitude. Nous avons pris toutes ces années à choisir l’inconfort plutôt que la routine, nous y sommes préparés.
S'envoler plutôt que de résister
Que les autres nous définissent par des concepts si limitants est une chose, mais là où cela mérite notre attention, c’est lorsque l’on commence à porter et agir selon ces masques que ces gens souhaitent nous voir porter.
Voyager, sans but précis
C’est lorsque l’on crée cet espace qu’on laisse place à la spontanéité que la vie peut transformer un moment anodin en souvenir gravé pour la vie. Pour cela, il faut être prêt à laisser à la douane, la peur de passer à côté de quelque chose, l’illusion erronée qu’il faut compacter chaque journée d’un périple pour ‘‘en profiter”.
Consommer le voyage
Le voyage c’est ce qu’on vit chaque jour où l’on n’est pas sur l’auto-pilote, c’est ce qu’on vit chaque fois qu’on est présent à l’instant. Le voyage c’est chaque fois où l’on sort de sa tête et retombe dans le moment.
De nomade à sédentaire - Revenir pour mieux repartir
On dit que pour savoir où l’on va, on doit savoir d’où l’on vient.
Alors je suis revenue. Revenue pour boucler la boucle? Peut-être.Mais je suis surtout revenue pour me laisser le choix de partir ou de rester.
Nous sommes plus que nos voyages
Je n'arrivais pas à me défaire de mon identité de voyageuse. Arrêter de voyager, c'était laisser tomber une énorme partie de moi et pour être honnête, ça me terrifiait.
Voyager ne me rendait pas heureuse
Le voyage ne m’a pas apporté le bonheur, mais il m’a appris à ralentir, à vivre dans le moment présent, à voir chaque petit moment comme un cadeau de la vie et, par dessus tout, à réaliser la chance que j’ai d’être ici et c’est là le véritable bonheur. Celui qui reste, celui qui, chaque jour, peu importe les événements, est présent : le bonheur permanent.
Tout quitter pour voyager
Ça peut sembler apeurant de tout quitter parce qu’on a tellement peur de se retrouver sans rien mais au contraire, le fait de ne plus rien posséder nous ouvre les portes sur tout. C’est comme si les possibilités sont tout à coup infinies. La vie est tellement plus simple quand on revient à l’essentiel. Avoir le pouvoir sur sa vie n’est pas un luxe, c’est une nécessité.